In 1911, just four years after its founding, the Royal Architectural Institute of Canada created a deputation to meet with Prime Minister Robert Borden. The subject of the meeting was the planning and urban design of Ottawa. It was unfolding on a more or less ad hoc basis, in spite of the creation of the Ottawa Improvement Commission in 1899 and, in 1905, a master plan for the Parliamentary Precinct by Frederick Todd. A proper capital city, the RAIC members argued, requires sustained commitment to a coordinated planning concept when development decisions are made.
En 1911, quatre ans seulement après sa fondation, l’Institut royal d’architecture du Canada a créé une délégation pour rencontrer le premier ministre du Canada, Robert Borden. La rencontre a porté sur le développement de la ville d’Ottawa qui ne respectait pas toujours les bons principes d’urbanisme et de design urbain, malgré la création de la Commission d’amélioration d’Ottawa, en 1899, et le plan directeur de la Cité parlementaire développé en 1905 par Frederick Todd.
The RAIC has requested a meeting with the new Minister of Canadian Heritage, Mélanie Joly, and written to Prime Minister Justin Trudeau with regards to the controversial Memorial to the Victims of Communism project in Ottawa. For the past eight months, the RAIC has worked with a coalition of professional associations and individuals to persuade the former federal government to relocate the memorial. We are now also seeking to ensure legal protection for the Parliamentary and Judicial precincts. Read the letter to the Prime Minister
L’IRAC a sollicité une rencontre avec la nouvelle ministre du Patrimoine canadien, Mélanie Joly, et a écrit au premier ministre Justin Trudeau, concernant le projet controversé de monument commémoratif aux victimes du communisme à Ottawa. Au cours des huit derniers mois, l’IRAC et un regroupement d’associations professionnelles et d’individus ont uni leurs efforts pour tenter de convaincre l’ancien gouvernement de choisir un autre emplacement pour ce monument. Nous plaidons également en faveur d’une protection légale pour les cités parlementaire et judiciaire.
